[vc_row][vc_column][vc_single_image image= »4435″ img_size= »large » alignment= »center » style= »vc_box_rounded » onclick= »link_image »][vc_empty_space height= »30px »][vc_column_text]Industrie 4.0, terme à la mode qui cache des réalités très concrètes et déjà en application chez SODI.
Le premier pilier, « l’intelligence artificielle et le Big-Data« , est connu sous le nom de Jason. ERP du groupe SARP, il intègre toutes les données du client, de la facturation en passant par l’exploitation, le parc matériel et les pointages. Cet ERP est capable, après digestion des données, de sortir des tableaux de bord qui permettent de suivre au plus près l’activité de SODI.
Le second pilier, « les assistants connectés, drones, robots« , commence déjà avec des smartphones qui relient le salarié à sa boîte mail, mais aussi à ses données stockées sur un drive. Il se poursuit avec des robots capables de remplacer avantageusement l’homme dans des environnements difficiles (hydrodémolition, nettoyage d’échangeurs sur une aire de lavage, nettoyage de bacs pétroliers, contrôle de canalisations). Il se développe dans l’air avec des drones capables de démousser ou d’inspecter. Il comprend aussi tous les objets connectés comme des capteurs de niveau, des trackers de véhicules, des sondes de température dont les informations déclenchent des alertes, et permettent un suivi au cours du temps pour en apprécier les évolutions.
Le troisième pilier, « la réalité virtuelle, augmentée et simulée« , est l’outil idéal de conception d’un nouveau matériel, de présentation d’une méthode de travail, de formation. Chez SODI, il est déjà utilisé pour des projets complexes de robotisation, d’aménagement de zone de travail, de représentation en 3D du mouvement d’un Manway Cannon.[/vc_column_text][vc_empty_space height= »30px »][vc_video link= »https://youtu.be/_4PfeCKMeV0?t=81″ align= »center »][vc_empty_space height= »30px »][vc_column_text]Le dernier pilier, « la fabrication additive« , est peut-être celui dont nous avons le moins besoin car SODI est une entreprise de services et ne fabrique pas de produit à vendre. Mais pourquoi ne pas faire appel à cette technologie pour remplacer une pièce défectueuse et introuvable ?
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